Naissance de Candeur Malgache

Publié le 10/01/2025 — Nosy Be

Bougie artisanale Candeur Malgache

Diplôme en poche. Pas de longs discours, une question simple : comment donner envie de Madagascar à ceux qui ne le connaissent pas ? Pas en empilant des cartes postales. En mettant le pays… sous le nez.

À Nosy Be, on l’appelle l’île aux parfums. L’ylang‑ylang se lève tôt, la vanille prend son temps, le girofle pique quand il faut. Ici, l’air raconte. Alors je me suis dit : si je veux faire découvrir mon pays, je dois le faire sentir. Pas avec un parfum anonyme fabriqué loin d’ici, mais avec des objets du quotidien qui portent vraiment nos senteurs.

J’ai commencé petit : un coin de table, un carnet de tests, des cocos, de la cire d’abeille, des gousses de vanille. Des dizaines d’essais plus tard, une évidence : quand les matières sont propres et locales, tout devient plus simple. La flamme brûle mieux, l’odeur est fidèle. C’est là qu’est née Candeur Malgache : des bougies et des huiles faits à la main, avec des ingrédients malgaches, sans tricher.

Pourquoi du 100 % malgache ?

Une ligne simple

  1. Matières locales : cire d’abeille malgache, huile de coco maison, vanille Bourbon.
  2. Parfums fidèles : chaleureux mais nets, jamais « bonbon ».
  3. Petites séries : fabrication à la main, temps maîtrisé.

Mes premiers produits

Les bougies sont arrivées les premières : flamme stable, parfum doux, pas entêtant. Puis les huiles : simples, propres, fidèles à la vanille.

La suite

Ce blog montrera l’envers du décor : comment je fais mon huile de coco, pourquoi je choisis telle cire, comment j’infuse la vanille sans la dénaturer, où trouver mes produits à Nosy Be, et les rencontres avec celles et ceux qui rendent tout ça possible.

Si vous passez dans le coin, mes créations sont disponibles au Jardin Vanille. Sinon, écrivez‑moi : je réponds avec plaisir. Et si vous allumez une bougie Candeur Malgache chez vous, prenez une seconde pour écouter l’odeur : elle vous racontera un bout de Madagascar.

Merci d’être là. La candeur, chez nous, n’est pas naïveté. C’est une façon directe d’aimer ce pays.