Pourquoi Candeur Malgache

Publié le 25/08/2025 — Nosy Be

Pourquoi Candeur Malgache

J’ai terminé mes études à Nosy Be. Comme beaucoup, je me suis demandé : et maintenant ? Ici, le travail vient surtout de l’hôtellerie‑restauration. C’est un beau secteur, mais je suis plutôt timide. J’avais besoin d’un projet concret, patient, lié à ce que j’aime : mon île et ses odeurs.

Après les études : chercher sa voie à Nosy Be

On appelle Nosy Be l’île aux parfums. Le matin, l’ylang‑ylang. Au marché d’Hell‑Ville, la vanille Bourbon. Le soir, le girofle dans l’air. Pourtant, je voyais peu d’objets capables de ramener ces senteurs à la maison, simplement et fidèlement.

Naissance du projet : les bougies locales

J’ai commencé par la bougie. Une flamme, une cire, une mèche : un support honnête. Après des essais, j’ai choisi le 100 % local : cire d’abeille de Nosy Be, matières propres, sans paraffine ni parfum de synthèse. Mon objectif : une combustion stable, une odeur nette, un rendu fidèle à la gousse.

Diffusion naturelle : prendre le temps

Mes bougies ne forcent pas. Elles s’installent. Il faut 15 à 20 minutes pour que la vanille prenne toute la pièce. C’est une signature volontaire : laisser le temps travailler, éviter la saturation.

Partenariat décisif : Jardin & Vanille

La rencontre avec Eric du musée‑boutique Jardin & Vanille a tout accéléré. Il a commencé à distribuer mes bougies et m’a ouvert l’accès au laboratoire. Ce cadre permet de prototyper proprement, de contrôler, d’affiner.

De la bougie à une petite ligne de produits

Avec ce soutien, j’ai développé d’autres idées ancrées ici :
huiles pour prolonger l’odeur.
La ligne reste la même : matières locales, simples, fidèles.

Ce que Candeur Malgache défend

À lire aussi : Nosy Be, mon île aux parfums · Des bougies aux huiles : prolonger l’odeur


📍 Disponible au musée‑boutique Jardin & Vanille, qui me prête son laboratoire pour concevoir mes produits.
🌍 Pour commander de loin : https://jardin-et-vanille.com